DE QUOI CA S'AGITE ? Salut, les gamers, pour mon 1er teste pour CNR nostalgie, je vous présente Indiana Jones and The Last Crusade sorti en 1989 (et la dernière croisade, oui ne me remercier pas pour la traduction). Il y a eu 2 autres Indiana Jones sur Amstrad CPC. Indiana Jones and the Temple of Doom sorti en 1987 (et le temple maudit) et Indiana Jones and the Fate of Atlantis en 1991 (et le sort de l’Atlantide). Je n’ai joué à aucun des deux, pourquoi en fait, je ne sais plus. Pourquoi j’ai choisi ce jeu, car en 1989, j’ai acheté ce jeu en version cassette pour mon CPC 464. Étant fan du film, j’ai été tenté par cette magnifique jaquette de jeu qui me promettait un bon jeu. De plus édité par U.S.Gold donc une valeur sûre. Nous sommes en 1989 avec Patou mon voisin. Nous jouons chacun notre tour (à chaque vie).

                     

QUI, QUE, QUOI, QUAND, OU ? Allez, on se lance c’est parti nous sommes dans les catacombes accompagnées de notre fidèle lasso comme arme et d’un pistolet où il nous faudra trouver quelques balles au fur et à mesure. Si vous n’avez pas de balles, un coup-de-poing. De plus de temps en temps, la salle s’assombrit, il nous faudra aussi trouver des torches pour éclairer les catacombes. Notre première mission retrouvée la croix de Coronado.

JOUABILITE ? La première chose qui nous saute aux yeux, c’est la lenteur du jeu, les mouvements du personnage un peu saccader, mais le jeu reste fluide (sûrement à cause de la taille des sprites) mais franchement après plusieurs parties, on s'y habitue et plutôt bien. On a pas mal de saut à faire ou il faut sortir le bon timing pour ne pas se cogner ou tombé. (Eh petit clin d’œil quand il saute, il tient son chapeau d’une main). Pas de musique pendant le jeu et tant mieux sinon ça va devenir vite chiant, mais quelques bruitages qui font le job. Quelques ennemies, un coup de fouet, une balle, un poing et bye bye. Pour ne pas vous Spoiler sachez que vous devez vous promener dans les souterrains à l’aide de cordes pour monter ou descendre. À vous de trouver votre chemin et d’enregistrer votre parcours (sortez le bloc-notes.).

GRAPHISMES ET AMBIANCE ? Le jeu est en mode 1, soit 4 couleurs (plus par une technique de professionnel de la programmation) et tant mieux, car je trouve le graphisme excellent et plus détaillé. En 1989, je jouais sur écran monochrome et en 2023 en couleur. Le monochrome avait son charme aussi.

(J’ai galéré ici à l’époque pour m’apercevoir que je pouvais sauter à ce moment précis pour trouver un nouveau passage.).

                     

Après avoir trouvé la croix, on sort du niveau ou presque et encore une épreuve de plus et celle-là, elle a sonné mon arrêt du jeu. Trop dur, faire des sauts sur un train au pixel près trop chaud, mais le souci, c’est de recommencer le jeu entièrement avec un 464 cassette et refaire partir le chargement, se retaper le niveau, et perdre et recommencer et …. Et MERDE.

                                        

34 ANS PLUS TARD : Hello, les amis me revoici 34 après sans Patou, mais avec mon PC via mon émulateur Amstrad. J’ai dû refaire plusieurs parties pour me remettre dans le Game et me voici sur cette putain d’épreuve. Eh Bim dans ta face après plusieurs essaient certes, mais j’ai mémorisé mes pixels où il faut sauter et enfin le level 2 s’est ouvert à moi. Le chargement 20 secondes, c’est qui le patron… (j’arrête l’alcool.).



C’est partie pour le niveau 2 : L'ascension du château de Brunwald.
Le tableau, est plus facile mais long, vous devez mémoriser comme d’habitude votre chemin, au début, vous allez prendre des mauvais chemins (encore des notes), esquiver des boules de feu qui tombent du plafond (elles sont chiantes et en quantités.). Vous devez sortir des souterrains et trouver et escalader le château toujours à l’aide des cordes (à la Tarzan). Bien sûr, sur le chemin, vous devez récupérer le bouclier.

                     

Comme on dit dans le JARGON : NEXT

C'est partie pour la niveau 3 : A bord du Zeppelin
Ici, le niveau se passe dans le zeppelin, ou vous devez trouver le journal de son père. C’est une architecture de tout plein de poutrelles en acier ou vous devez trouver votre chemin. Plein de soldats nazis qui mènent la garde, juste à les esquiver ou un coup-de-poing bien fatal. En fait toujours pareil, mais changement de décor, faites-vous votre plan, c’est plus simple si vous avez perdu et que vous devez tout recommencer.

                     

Trouver la sortie et nous voici dans le dernier niveau.

C’est partie pour le dernier niveau : le Saint-Graal.
Franchement, on voit que c’est la fin du jeu, un peu comme les films français avec de bons scénarios qui vous tiennent en haleine et puis les 5 dernières minutes du film une fin bidon, genre on avait plus de budget pour des minutes supplémentaires (pas que le budget, peut être aussi un manque de kilo octets). C’est dommage, ici pas de labyrinthes, mais une série de sauts à faire pour éviter le vide ou une espèce de scie circulaire au sol. Bref un saute-mouton meurtrier. Une dizaine de tableaux à enjambés et nous voici avec le Saint Graal.

                     

CONCLUSION ? Ma conclusion de ce jeu, j’ai loupé un super jeu à l’époque à cause des chargements de jeu trop long de mon 464 et de mon manque de patience après mon Game Over. C’est un jeu où on va souvent perdre à cause de saut non synchronisé. Des allés retours pour rien pour connaître le vrai chemin à prendre. (Bloc-notes les amies). Malgré le côté un peu lent, comme je disais une fois dans l’histoire, on ne fait plus attention. Les graphismes sont magnifiques. Plusieurs heures de jeu en perspective. Bref un jeu Attachiant.

LA PETITE ANECDOTE Rick Dangerous est souvent comparé à Indiana Jones et pour de bonnes raisons, juste la 1ère scène dans le jeu avec la boule géante qui nous tombe dessus est un hommage à notre Indy, sans parler du reste du jeu.

TELECHARGEMENT ? Ca vous tenterais de jouer à ce jeu ? Téléchargez le chez CPC POWER de notre amis Kukulcan --> ICI <--

GARCON LA NOTE ? La note de Toug est de 15/20

Toug Of Cpc Fanz Bzh pour Crack'n Rom Nostalgie